Bien évidemment, les investissements dans le mobile ont plombé le bénéfice qui chute de 45 % à 80 millions d’euros. La seule zone d’ombre reste les répartitions exactes entre les abonnements à 2 € et à 19,99 €, les abonnés déjà Freenautes et les nouveaux entrants, les nouvelles attributions de numéros et les portabilités.
Belle performance dans le domaine du fixe également, où le chiffre d’affaires progresse de 8,5 % à 1,13 milliard d’euros : Free affiche un solde positif de 298 000 abonnés (net de résiliations et hors migrations Alice). Iliad souhaite atteindre à long terme une part de marché de 25 % dans le fixe comme dans le mobile.
